lundi 27 janvier 2014

à lire : Les Chérubins électriques, Guillaume Serp

Les Chérubins électriques : on vous aura prévenus !

Avertissement : la lecture de ce livre  peut entraîner des étourdissements, des éblouissements temporaires,des rêves récurrents ou des maux de tête, voire des envies de revenir en 1978 ou 1979.
Mode d’emploi : commencez par écouter MODERN GUY, enchaînez avec du TAXIGIRL, Suicide Roméo et du KAS PRODUCT. Excellent pour la santé mentale et le développement de la culture musicale d’excellence, norme ISO JOY/DiV/666. Pas de quota.
Posologie : livre dense, très bien écrit, belle syntaxe et phrases à sens profond, donc ne pas dévorer trop vite. Prévoir quelques heures de lecture en injection intra-cervicale bien espacées ou toute la dose en une nuit, mais avec adjonction d’aspirine et d’euphorisant  matinal.
Nota Bene subjectif : L’auteur, Guillaume Serp n’est plus de ce monde depuis 1987. Et ça, c’est nul.
Code couleur couverture : Jaune poussin vif et bleu tendance électrique Sylvie. C’est du Pan-Pantone. Choix de« l’éditeur singulier ».
Conseil du jour : Achetez ce livre, lisez-le sans tarder.
Horoscope : Cancer, vous aller lire un livre formidable. Taureau cordial, Mulot rieur, Poisson-chat, Dragon de porcelaine fêlée, numéro 6, 49 ou 1, Verseau-litaire et tous les autres, en fait … pareil !  
Références : Boris Vian, pour la fête folle de « Vercoquin et le plancton ». Bret Easton Ellis, pour les nez poudrés de Moins que zéro.
Instruments utilisés : Fender Telecaster, Clavier Juno 106, Basse  Rickenbacker (modèle tbd), batterie selon opportunités et batteur du moment. Divers stupéfiants, alcools forts, cigarettes par cartouches.

Conclusion du Chef : Ouvrage plus que recommandé, à déguster offrir à ses amis qui écoutent de la musique et aiment la littérature de haute qualité. Un peu vénéneux, mais plat salutaire pour le cervelet. 4 toques et autant de toqués/ 5 étoiles dans les yeux.